Quelques personnages illustres du Plateau
Des personnages illustres ont vécu dans le Plateau et il serait difficile de ne pas leur consacrer quelques lignes en témoignage de notre reconnaissance. Au fil des événements, des fiches portraits seront présentées dans cette page sans ordre de priorité ni de préséance.
Participez à cette collecte en nous adressant vos notes ou commentaires .
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L’abbé Magloire Auclair
En 1880, Monseigneur Fabre nomme l’abbé Magloire Auclair curé
dans la paroisse de Saint-Jean-Baptiste de Montréal,
où il oeuvre pendant 30 ans: de 1880 à 1910.
C’est le début des heures de gloire de la paroisse dont il est le véritable bâtisseur.
dans la paroisse de Saint-Jean-Baptiste de Montréal,
où il oeuvre pendant 30 ans: de 1880 à 1910.
C’est le début des heures de gloire de la paroisse dont il est le véritable bâtisseur.
Le docteur Fernand Dazé
En 1935, la crise économique commence à s’atténuer.
Fernand Dazé, alors jeune médecin, ouvre son bureau au 1824 de la rue Rachel.
Il est âgé de 32 ans. Plus tard, il sera surnommé le “médecin des pauvres du Plateau”
eu égard à tout le dévouement qu’il déploya pour soigner ses concitoyens.
Fernand Dazé, alors jeune médecin, ouvre son bureau au 1824 de la rue Rachel.
Il est âgé de 32 ans. Plus tard, il sera surnommé le “médecin des pauvres du Plateau”
eu égard à tout le dévouement qu’il déploya pour soigner ses concitoyens.
Le père Marcel de la Sablonnière
Le père Marcel de la Sablonnière a été une personnalité exceptionnelle du Plateau
et fut vice-président de l’Association olympique canadienne de 1969 à 1985
puis directeur du Centre de loisirs de l’Immaculée-Conception à Montréal.
et fut vice-président de l’Association olympique canadienne de 1969 à 1985
puis directeur du Centre de loisirs de l’Immaculée-Conception à Montréal.
Le docteur Wilfrid Derome
Le docteur Wilfrid Derome dont la renommée a franchi bien des frontières,
a demeuré sur le Plateau Mont-Royal au début des années 1900.
Tout d’abord au 14 carré Saint-Louis qui correspond maintenant au 318 puis au 138 rue Cherrier,
de nos jours le 512. Les paroissiens de l’église Saint-Louis-de-France
l’entendaient chanter aux offices religieux du dimanche.
a demeuré sur le Plateau Mont-Royal au début des années 1900.
Tout d’abord au 14 carré Saint-Louis qui correspond maintenant au 318 puis au 138 rue Cherrier,
de nos jours le 512. Les paroissiens de l’église Saint-Louis-de-France
l’entendaient chanter aux offices religieux du dimanche.
Le violoniste compositeur et chef d’orchestre Joseph-Omer Dumas
Il a été une figure marquante du parc La Fontaine.
Durant les difficiles années 30, il a enchanté les dimanches du chalet
avec un quatuor de musiciens et amis.
Durant les difficiles années 30, il a enchanté les dimanches du chalet
avec un quatuor de musiciens et amis.
Le maire de Montréal Camillien Houde
Pendant plus de 25 ans Camillien Houde a résidé
(de 1933, jusqu’à sa mort) dans une maison bien garnie,
au 4455 rue Saint-Hubert.
Cette brillante personnalité qui a marqué de son empreinte la ville de Montréal
et plus particulièrement notre arrondissement.
Il méritait bien que l’on s’attarde sur son parcours.
(de 1933, jusqu’à sa mort) dans une maison bien garnie,
au 4455 rue Saint-Hubert.
Cette brillante personnalité qui a marqué de son empreinte la ville de Montréal
et plus particulièrement notre arrondissement.
Il méritait bien que l’on s’attarde sur son parcours.
La Bolduc
Avant de connaître le succès sur les scènes musicales
à l’époque de la crise économique des années 30,
Mary Travers Bolduc (1894-1941), native de Newport en Gaspésie,
fut d’abord domestique sur le Plateau lors de son arrivée à Montréal en 1907.
à l’époque de la crise économique des années 30,
Mary Travers Bolduc (1894-1941), native de Newport en Gaspésie,
fut d’abord domestique sur le Plateau lors de son arrivée à Montréal en 1907.
Jeanne Mance co fondatrice de Montréal
Personne ne sait si Jeanne Mance a parcouru ou pas les chemins du Plateau
ou si elle a subodoré l’emplacement de l’Hôtel Dieu à l’endroit actuel;
mais ce qui est sûr aujourd’hui c’est que sa sépulture est pour l’éternité sur le Plateau
dans la crypte du musée des Hospitalières.
La Société d’histoire du Plateau se devait donc d’ouvrir une page
à la mémoire de cette femme illustre à l’origine de la ville de Montréal.
ou si elle a subodoré l’emplacement de l’Hôtel Dieu à l’endroit actuel;
mais ce qui est sûr aujourd’hui c’est que sa sépulture est pour l’éternité sur le Plateau
dans la crypte du musée des Hospitalières.
La Société d’histoire du Plateau se devait donc d’ouvrir une page
à la mémoire de cette femme illustre à l’origine de la ville de Montréal.
Le poète Gaston Miron
Il est encore aujourd’hui considéré comme un grand poète du Québec contemporain.
Il a vécu longtemps sur le Plateau et il faut faire un long parcours
pour retrouver tous les lieux qu’il a fréquentés.
Il a vécu longtemps sur le Plateau et il faut faire un long parcours
pour retrouver tous les lieux qu’il a fréquentés.
Le poète Émile Nelligan
La Société d’histoire du Plateau dont le siège croise le parcours
de cet illustre poète se devait d’ouvrir un portrait dédié
à Émile Nelligan, qui vécut une partie de son enfance sur le Plateau avenue Laval.
de cet illustre poète se devait d’ouvrir un portrait dédié
à Émile Nelligan, qui vécut une partie de son enfance sur le Plateau avenue Laval.
Le maire de Saint-Jean-Baptiste Joseph-Octave Villeneuve
Il fut le premier et seul maire du village de Saint-Jean-Baptiste.
Pilote de cette rubrique
Courriel : gumo@histoireplateau.org
J’ai lu une de vos publications sur Joseph-Octave Villeneuve, en suivant ce lien, transmis par un ami.
La recherche a été faite par Diane St-Julien en 2010. J’aurais aimé entrer en contact avec elle pour pour connaître ses travaux ou tout simplement la féliciter pour son texte qui m’a beaucoup aidé dans mes recherches.
J’ai surtout apprécié l’importance qu’elle accorde au statut juridique des femmes, sujet que les historiens n’ont pas l’habitude d’analyser ou même de mentionner, bien qu’il touche pourtant la moitié du monde sur le Plateau comme ailleurs.
Pourriez-vous m’indiquer comment contacter Madame Julien, ou tout simplement lui transmettre mes félicitations.
Merci et bonne journée,
Christine Hudon
Bonjour Madame Hudon,
Votre message me touche beaucoup d’autant que Diane est mon épouse. Je viens évidemment de lui transmettre votre message et elle vous remercie cordialement pour l’évaluation que vos avez faite de son article. Comme ses recherches sont assez lointaines et qu’actuellement nous ne sommes pas à Montréal le ne pourras pas vous en dire plus.
De mon côté l’intérêt que vous avez porté à son article vont m’inciter à poursuivre mon travail de fourmi tant il y a de personnages illustres sur le Plateau.
Bien cordialement
Ange Pasquini administrateur webmestre
Qui peut m’aider dans ma recherche?
Mon grand-père avait une bijouterie sur l’avenue Mont-Royal dans les années 1920 /1930, il avait une grosse affiche illuminée, “J E LEBLANC” et une grosse horloge en-dessous.
Mon père de 89 ans rêve de voir une photos de ce commerce avant de nous quitter. Aidez-moi s’il vous plait.
Il m’a dit que cette photo avait été publiée dans un journal de cette époque, merci d’avance pour vos renseignements ou conseils.
Voici quelques informations complémentaires que j’ai retrouvées.


Le premier à avoir tenu cette bijouterie était Louis-Henri Durocher autrement (le beau-père de JE Leblanc) qui lui a enseigné son métier et lui a vendu ou loué sa boutique. Dans les années 1921 M. Joseph-Edouard Leblanc et son épouse Laurelle Durocher sont devenus les occupants du commerce.
L’affiche de la boutique mesurait 15 pieds de long et 5 pieds de large. En grosses lettres stylisées était inscrit “JE LEBLANC” et au-dessus il y avait bien une horloge. Il y avait aussi des lumières vissées dans chaque lettres.
Au début l’adresse de la bijouterie était 599 avenue de Mont-Royal-Est puis à partir de 1928 elle est devenue 1111.
Par la suite la seconde guerre mondiale a tari les approvisionnements et suite au déclin des ventes ils ont dû vendre et aller vivre chez leur oncle.
JE Leblanc a repris sont métier dans la Ville de l’Épiphanie dans Lanaudière.
Ils ont eu 5 enfants (2 nés à Montréal et 3 à l’Épiphanie) dont Réal mon père. Aujoud’hui je suis sa proche aidante et je lui fais voir toutes nos trouvailles et je vois de la joie dans ses yeux qui étaient presque éteints depuis le décès de ma mère.
Voici une photo un peu floue de l’époque où Monsieur Joseph-Edouard Leblanc posait devant sa petite boutique et logement à l’Épiphanie. L’autre photo présente son épouse Laurelle Durocher.
Patricia Leblanc
Avez-vous un espace musée ?
Avez-vous déjà fait une exposition au sujet du Stade Delorimier et les Royaux de Montreal ?
Alain Livernoche
514-946-4800
Pour la première question oui et non, au Centre des services communautaires (4 ième étage local 419) où se situe notre centre documentaire nous archivons des ouvrages et quelques artefacts?
Pour la deuxième question non, nous n’avons pas encore faite d’exposition sur le stade DeLorimier et les royaux de Montréal mais pourquoi pas ne pas y songer… Dites nous en plus.
Je voudrais savoir si le père Sablon a été curé de la paroisse Immaculée-Conception?
merci
Yves Archambault
Jacques Trudel dans sa maîtrise Le rôle du Centre Immaculée-Conception 1951-1999, écrit que Le Père de la Sablonnière a été vicaire à l’Immaculée-Conception tout en s’occupant de sport au Parc Lafontaine. Le Centre a été fondé et construit par le Curé Gariépy et le Père Sablon en a été le premier directeur en 1951. Il avait alors 33 ans.
Désolé Monsieur Archambault mais le père Sablon n’a pas été curé de l’église-Immaculée Conception, d’après ce tableau: http://histoireplateau.org/architecture/lieuxdeculte/immaculee_conception/images/cures.jpg
Par contre son ami le le père Wilfrid Gapièry oui.